Citations inspirées

 

Première partie

 

C’est dans sa réaction face au défi et dans la controverse, que l’on prend la vraie mesure d’un homme, et non pas quand il est confortable et qu’il a ses aises. (Martin Luther King, Jr.)

 

Retirez-moi la capacité de faillir, et le succès ne voudra plus rien dire pour moi. Rendez-moi insensible au rejet et à la douleur, et je ne saurai plus ce qu’est la grandeur de vivre. (Ross W. Marrs)

 

Chaque fois que vous tombez, profitez-en pour ramasser quelque chose. (Oswald Avery)

 

Je n’utilise pas seulement toute ma matière grise, j’utilise aussi toute celle que je peux emprunter. (Manford George Gutzke)

 

J’ai découvert ce paradoxe : si j’aime jusqu’au point où cela me fait mal, alors il n’y a plus de douleur, il y a seulement plus d’amour. (Mère Teresa)

 

Soucie-toi de ta personnalité plutôt que de ta réputation, parce que ta personnalité, c’est ce que tu es, tandis que ta réputation n’est rien d’autre que ce que les autres pensent que tu es. (John Wooden)

 

Dans l’histoire, la plupart des progrès importants ont été réalisés par des gens trop occupés ou trop malades !

Il est rare qu’on soit dans les conditions idéales et qu’on ait tout son temps pour faire des progrès. (Robert Thornton Henderson)

 

Certes, nul n’a jamais réussi sans quelque étincelle de feu divin, mais ceux qui ont apporté beaucoup de soin à cultiver leur petite étincelle ont souvent mieux réussi que ceux qui ont négligé leur luxuriante flamme. (Henry Holt)

 

On ne vieillit que si l’on abandonne ses idéaux. Les années rident la peau, mais c’est la perte de l’enthousiasme qui ride l’âme.

Les soucis, les doutes et la méfiance à l’égard de soi-même, les craintes et le désespoir, voilà les longues années qui font courber la tête et qui ramènent à la poussière l’esprit qui grandissait. (Douglas MacArthur)

 

La plus grande récompense du labeur d’un homme n’est pas ce que ce labeur lui fait gagner, mais ce qu’il le fait devenir. (John Ruskin)

 

On demandait au médecin missionnaire Albert Schweitzer, déjà bien avancé en âge :

― Comment allez-vous, docteur Schweitzer ?

― Je n’y vois plus grand-chose, répondit-il, mais ma vision n’a jamais été aussi claire.

(Zig Ziglar)